Une société de l’image qui crée sa norme de voyeurisme… Plus la pression tant individuelle et sociale de réinvention permanente de sa libido…
Rajoutons à cela le bon fameux buzz, qui dicte à l’opinion le scandaleux comme étalon de valeur… on secoue… et on obtient: Oh my God !
PS/ je suis d’accord avec Lucile, un peu d’ambition dans la conception et la réalisation sont indispensables….(la culture de l’image est passée par là)